Author Archives: Amélie Delobel
Author Archives: Amélie Delobel
Je ne pensais pas élaborer sur ce sujet sur mon blogue. Mais après réflexion, je me suis dit, pourquoi pas? Comme vous vous en doutez, une de mes plus grandes passions est le sport.
Particulièrement le hockey et le basketball, mais j’apprécie les autres disciplines également. En plus du sport, une autre grande passion que j’ai développée au fil des années est voyager.
D’où l’idée d’ un premier voyage sportif !
J’adore partir à l’aventure et découvrir de nouveaux paysages. Pas besoin nécessairement que ce soit sur un autre contient. Il y a de belles choses à voir partout.
Avec mon copain, nous aimons bien faire de la route en voiture. C’est pourquoi à l’été 2016, donc il y a un peu plus d’un an, nous sommes partis à deux reprises en Ontario.
J’avais déjà été à Ottawa et à Toronto plus jeune, mais bon, ce n’est jamais pareil partir quelques jours avec sa famille plutôt que son copain. Nous sommes donc partis au début du mois de juin découvrir la capitale. Je dois admettre que je suis tombée en amour avec Ottawa.
C’est une belle ville bilingue qui est ni trop grande ni trop petite. Nous en avons profité pour faire la visite de plusieurs musées et prendre un verre (ou deux) aux 3 Brasseurs.
Il faut savoir que ce restaurant a une connotation particulière pour nous, puisque mon chum m’y a invitée pour notre deuxième rendez-vous. En plus, ils font de la bonne bière et de la bonne poutine, quoi demander de mieux?
Pour en revenir à notre premier voyage sportif, nous avons également profité de notre fin de semaine à Ottawa pour assister à un match de baseball de la Ligue Can-Am, alors que les Champions d’Ottawa accueillaient les Miners de Sussex.
Pour les gens du Québec, nous avons deux clubs de cette ligue, soit les Capitales de Québec et les Aigles de Trois-Rivières. C’était seulement mon troisième match de baseball à vie. J’avais auparavant assisté à un match de la MLB en 2010 à Washington ainsi qu’à une partie des Capitales en septembre 2015.
Pour mon copain, c’était une première expérience du genre. Bien que le baseball ne soit pas notre sport de prédilection, nous avons passé une très belle soirée.
En ce 4 juin 2016, les Champions, qui ont remporté le titre de la ligue Can-Am quelques mois plus tard, l’ont emporté 8-2. Pour moins de 15$ par personne (14$ adulte et 11$ pour les étudiants), c’est à considérer dans vos activités lors de votre prochaine visite!
Un peu moins de deux mois plus tard, nous étions de nouveau en route vers l’Ontario pour notre deuxième voyage sportif. Cette fois-ci, mon copain et moi allions à Toronto et à Niagara Falls.
Contrairement à Ottawa, cette fois-là, nous avons acheté notre billet de balle à l’avance. En effet, pour à peine 20$ canadien, nous avions nos billets pour assister au duel entre les Blue Jays de Toronto et les Padres de San Diego.
Ce match se déroulait un lundi soir et il y avait de l’ambiance! Nous étions un peu plus de 42 000 personnes au Rogers Centre. De plus, les Blue Jays ont gagné ce match 4-2.
Même si nous avons bien aimé l’expérience, on doit admettre qu’à partir de la sixième-septième manche, ça commence à être long. Mais bon, pour le prix pour assister à un match professionnel, on ne peut pas se plaindre!
Qui dit Toronto pour n’importe quel partisan de hockey dit aussi le Temple de la renommée! Bien évidemment, il était hors de question que je passe à côté de ce lieu mythique.
Nous y sommes restés un bon deux heures. J’ai vraiment aimé cette visite, regardant les nombreuses pièces d’équipements historiques tout en apprenant un peu plus sur ce sport. J’en ai même profité pour bloquer quelques rondelles!
Moi qui rêvais d’y aller depuis de nombreuses années, cette visite a fait mon bonheur. Bien évidemment, étant en Toronto, on en a profité pour se promener un peu partout en ville et faire du lèche-vitrine.
Tout en prenant quelques bières aux 3 Brasseurs lors de ces quatre jours, bien sûr! Voir les chutes du Niagara et jouer dans des arcades à Niagara Falls ont vraiment bien complété ce périple.
Ces deux petites visites nous ont donné le goût de pousser l’expérience plus loin. Comme mentionné plus haut, les sports préférés de mon chum et moi sont le basketball et le hockey.
N’ayant jamais assisté à des rencontres de la NBA, c’était dans nos plans. C’est pourquoi, dès notre retour de Toronto, nous nous sommes mis sur ce cas. Et vous, quel a été votre premier voyage sportif ?
Je vous explique tout ça dans mon prochain article de blogue! À très bientôt et merci de me suivre!
Crédit photos: photos personnelles
1-Nouveau départ avec les Dynamiques (1/2)
2-Nouveau départ avec les Dynamiques (2/2)
3-Ma deuxième année avec Sainte-Foy
Au fil des années, j’ai fait des petits contrats et des rédactions d’articles ici et là (bénévolement il faut préciser). C’était avant ma rentrée à l’Université, puisqu’à ce moment, je pouvais plus me permettre de faire du travail supplémentaire sans être rémunérée. Un contrat que j’ai accepté et que j’ai bien apprécié malgré la charge de travail était d’être relationniste de presse pour l’événement des Mardis cyclistes de Lachine. C’était Yvan Martineau lui-même, un réputé animateur de télévision et journaliste chez TVA, qui m’avait contactée par LinkedIn. Voici tout sur mes autres expériences dans le milieu des communications.
Lorsque de notre discussion, j’ai accepté avec plaisir de relever ce nouveau défi! Avec une autre bénévole, nous avons donc bâti une liste de contacts médias, à qui on envoyait les points de presse et les résultats à chacune des étapes. Il y avait également plusieurs entrevues publiées sur le site, dont une avec le Québécois Hugo Houle, qui a représenté le Canada aux Jeux olympiques de Rio l’été dernier et à quelques reprises au célèbre Giro d’Italie, ainsi qu’avec le fondateur de l’événement, M. Tino Rossi.
Ma collègue et moi avons passé de nombreuses heures sur ce projet au fil des semaines, puisque cet événement sportif se déroule de la mi-juin à la mi-août. Cet été (2017) était d’ailleurs la 40e édition des Mardis cyclistes de Lachine, qui a pris fin il y a deux jours. Pour tout savoir sur l’événement, c’est possible en allant directement sur le site officiel des Mardis cyclistes de Lachine.
Ce même été, soit en 2015, j’ai vu mon nom être publié dans le Journal de Montréal. Oui oui ! Encore une fois, Yvan Martineau m’a proposé de rapporter les faits de la golfeuse professionnelle Maude-Aimée Leblanc, qui tient une chronique dans ce journal, pour informer les gens sur ses dernières performances. Bien que le golf ne soit pas mon sport de prédilection, j’ai bien apprécié cette entrevue et de voir mon nom au bas d’un article m’a fait un petit velours, surtout quand on connait la popularité de ce journal.
Toutefois, ce n’était pas mon premier article dans un journal. La première fois, c’était en mars 2014, alors que j’avais réalisé une entrevue avec le joueur des Inouk Steven Mercier. Mercier avait auparavant disputé plusieurs saisons dans la LHJMQ avec les Huskies de Rouyn-Noranda, et c’est pourquoi Jean-François Vachon, du journal Citoyen de l’Abitibi, voulait un article à son sujet. Pour me remercier, il a pris la peine de m’envoyer une copie de mon article que je garde encore précieusement aujourd’hui ! Disons que ça fait un beau souvenir, même si j’ai décidé de changer de branche…
À mon arrivée à Québec, à l’automne 2015, je me suis jointe à l’équipe de chroniqueurs de CHYZ 94,3 pour l’émission Conduite Antisportive. Voulant vraiment m’impliquer à ma première année universitaire, j’avais aussi demandé à joindre l’équipe d’Impact Campus, qui est le journal-étudiant de l’Université Laval. Ma demande a été acceptée et à mon grand bonheur, j’allais couvrir les activités du Rouge et Or pour l’année 2015-16. Merci à mon ami Guillaume Villemaire pour les recommandations! J’ai donc eu la chance de couvrir tous les matchs locaux de l’équipe de football du Rouge et Or.
Ayant regardé cette formation à la télévision plus jeune, c’était spécial d’être maintenant dans la galerie de presse. J’avais le même sentiment après les matchs lors des entrevues avec les joueurs, dont certains étaient dans mon programme, et aussi d’avoir en face de soi Glen Constantin. Comme c’est coutume chez le Rouge et Or, l’équipe a connu une grande saison. C’est pour cette raison qu’elle a affronté en finale les Carabins de l’Université de Montréal.
Les deux grands rivaux nous ont offert un grand spectacle. Mais les Carabins ont finalement eu le dernier mot pour ainsi remporté la Coupe Dunsmore. Comme journaliste du journal étudiant de l’UL, c’était décevant et triste de voir les Carabins célébrer. Disons que les entrevues d’après-match n’ont pas été faciles. Ça aurait été plus agréable de les faire dans la joie plutôt que dans la défaite. Mais il faut donner crédit aux Carabins qui ont connu un excellent match!
La saison de football se déroulant de septembre à novembre, j’ai été plus tranquille par la suite. J’ai fait un retour pour les championnats provinciaux de badminton que les athlètes du Rouge et Or ont dominés. Je n’avais jamais assisté à des parties de badminton auparavant. Je vous confirme, le calibre universitaire est beaucoup plus impressionnant que celui de nos cours d’éducation physique au secondaire… Les étudiants-athlètes avec qui j’ai discuté étaient très généreux de leur temps. Ils étaient fiers aussi de me parler de leurs performances.
Mes nombreux articles m’ont permis, à ma surprise, de gagner le titre de recrue de l’année au Gala des bénévoles d’Impact Campus. J’étais très heureuse de me voir attribuer cet honneur, bien qu’on ne s’implique pas uniquement pour remporter des prix. C’était toutefois un beau bonus pour me motiver pour ma fin de session, qui s’est heureusement bien déroulée.
J’ai fait plusieurs autres petits textes au fil des années. Par la suite, j’ai décidé qu’il valait mieux se consacrer sur quelques projets à la fois. Actuellement, ce sont mes études ainsi que mes contrats qui sont les priorités. Bien sûr, dès que possible, j’aime contribuer pour le site de Parlons Junior. Donc à ceux qui débutent dans le milieu, oui, les communications sont un domaine où tu dois te créer des contacts. Même si cela veut dire de faire du bénévolat. L’important est de commencer le plus tôt possible pour vous bâtir un bon cercle et un bon CV.
Par la suite, vous aurez le loisir de refuser ou d’accepter certaines demandes. Il ne faut pas s’empêcher de vivre non plus, ni tenter de trop en faire. Dans ces moments-là, vos résultats ne sont pas optimaux, ce qui pourrait même vous nuire…S’impliquer à votre école, que ce soit au niveau secondaire, collégial ou universitaire, est aussi une bonne chose.
J’avais d’ailleurs écrit des articles sur les équipes des Inouk pour le journal étudiant lors de ma dernière année à Granby. L’important est de bien se connaître et d’avoir du plaisir dans ce que l’on fait! C’était tout sur mes autres expériences dans le milieu !
À très bientôt !
Crédit photos: photos personnelles
1-Officiellement membre de la tribu (2/2)
2-Nouveau départ avec les Dynamiques (1/2)
3-Nouveau départ avec les Dynamiques (2/2)
4-Ma deuxième année avec Sainte-Foy
5-Première femme analyste dans le Midget AAA
Comme je le mentionnais il y a quelques semaines, je suis avec mon copain depuis près de deux ans et nous sommes souvent chez lui, sur la Rive-Sud de Québec (Lévis). Pourquoi est-ce que je vous parle de cela ? En fait, au mois de novembre 2016, je regardais mon fil d’actualité Facebook lorsque je suis tombée sur le message d’un de mes amis, Maxime Blouin. Max, qui a été mon animateur à ma première saison à CHYZ, se cherchait quelqu’un avec qui faire l’analyse pour un match des Commandeurs de Lévis au niveau Midget AAA. C’est ce qui m’a permis d’être la première femme analyste dans le Midget AAA !
Étant déjà sur place (ou presque), j’ai écrit à Max comme quoi j’étais disponible et très intéressée à être son analyste. C’était ma première expérience du genre dans ce calibre. Bien que je ne compte pas faire ça de ma vie et je sais qu’il y a des personnes qui ont une plus belle voix radiophonique que la mienne, je dois admettre que c’est une passion. Avec mes quelques semaines d’expérience avec les Dynamiques, j’étais quand même confiante.
Mon premier match s’est déroulé le 12 novembre face aux Grenadiers de Châteauguay. Lors de la première période, j’étais bien évidemment un peu nerveuse, surtout que j’étais plus habituée comme commentatrice qu’analyste. À la description, il n’y a pas beaucoup de pauses et tu dois être à 100% concentré sur la partie, mais tu expliques ce que tu vois.
Analyste, tu dois sortir des statistiques intéressantes et expliquer les jeux qui viennent de se dérouler. N’ayant jamais joué au hockey sur glace, je n’ai pas le même sens du jeu que d’autres personnes. La première période a donc été correcte, sans plus, mais je pense que les deux autres périodes se sont bien déroulées.
Au final, Lévis a remporté ce duel par la marque de 6-2 et j’ai passé un bon moment. Je souhaitais avoir la chance d’analyser d’autres parties, non seulement pour ma propre expérience, mais aussi pour mieux découvrir ce calibre de jeu. Quelques jours plus tard, Max m’a annoncé que je suis devenue à ce moment la première femme analyste dans le Midget AAA . Même si j’étais contente à 20 ans d’avoir réalisé ce fait, je me disais aussi que c’était dommage de voir si peu de femmes dans ce domaine, soit à l’analyse ou pour commenter des parties de hockey.
Considérant la popularité de ce sport au Québec et le nombre élevé de femmes qui étudient en communication, de n’en voir aucune à temps plein au niveau Midget AAA, ni dans la LHJMQ est tout de même étonnant. De mon côté, je ne dirais pas non à tenter l’expérience du Junior Majeur un jour…
Il faut croire que j’avais fait une bonne impression aux responsables des Commandeurs puisqu’à peine plus d’une semaine plus tard, soit le 20 novembre, j’analysais mon deuxième match. Cette fois-ci, mon commentateur était William Boivin (Willy pour les intimes) et l’adversaire de Lévis était l’Intrépide de Gatineau.
Avant la rencontre, j’ai fait ma première entrevue en direct sur l’écran géant de l’Aréna de Lévis avec l’entraîneur-chef de la formation lévisienne, Mathieu Turcotte. J’ai vécu un moment assez spécial et même si j’étais nerveuse, j’ai apprécié le tout. Pour ce qui est de l’analyse, comme pour mon premier match, la première période semblait un peu difficile.
Heureusement, plus la partie avançait, plus je me sentais à l’aise. Lévis a finalement remporté ce match par la marque de 4-3 en prolongation. C’était un match enlevant! Pour ceux qui ne sont jamais allés voir une partie de cette ligue, elle est à découvrir. Beaucoup de joueurs de ce circuit se retrouvent par la suite dans la LHJMQ, dans le Junior AAA ou au niveau collégial.
Cette partie allait être ma dernière de l’année 2016 avec les Commandeurs. J’ai eu la chance d’être de nouveau appelée le 19 février pour un match des séries éliminatoires. C’était la deuxième rencontre de la première ronde entre les Commandeurs et les Lions du Lac Saint-Louis. Les Lions avaient remporté le premier match. Il y a toujours une ambiance différente dans les estrades ainsi que sur la glace lors de ces matchs qui sont tous importants et du haut de la galerie de presse, on ressent cela également.
Il arrive parfois qu’au hockey, comme dans d’autres sports, il y ait des matchs plus intéressants que d’autres… Jusqu’à présent à Lévis, je n’avais assisté qu’à de bons matchs et des victoires de l’équipe locale. C’est un plus avec l’atmosphère qui règne après le duel. Mais celui-ci était sans contredit le meilleur des trois! C’était un vrai match des séries. Les deux équipes s’échangeaient des buts, avant de voir les Lions prendre les devants pour la première fois du match à 4-3 en fin de deuxième période. La troisième a été chaudement disputée, mais les Commandeurs ne trouvaient pas une façon de s’inscrire à la marque.
Alors que le Lac Saint-Louis était à une minute de prendre une sérieuse option sur la série (en première ronde, c’est un 3 de 5), Maxence Guenette a marqué avec 1:08 à faire à la troisième période pour créer l’égalité. Puis, alors qu’on pensait tous se rendre en prolongation, Hugo Guillemette a joué les héros avec 11 secondes au cadran. Il a ainsi permis aux Commandeurs de niveler la série.
C’était assez incroyable sur la galerie de presse et partout ailleurs dans l’aréna. Nous avons eu droit à une très belle rencontre. Cela a bien fini ma courte présence dans l’entourage de cette organisation en 2016-17. Lévis a finalement vu son parcours prendre fin lors des demi-finales. Ils ont baissé pavillon face aux futurs champions, le Blizzard du Séminaire Saint-François. J’ai vraiment aimé mon passage avec la belle et grande organisation lévisienne!
Match 12 novembre 2016 vs Grenadiers Châteauguay
Rencontre 20 novembre 2016 vs Intrépide de Gatineau
Match 19 février 2017 vs Lions du Lac-Saint-Louis
Crédit photo: Commandeurs de Lévis
1-Officiellement membre de la tribu (1/2)
2-Officiellement membre de la tribu (2/2)
3-Nouveau départ avec les Dynamiques (1/2)
4-Nouveau départ avec les Dynamiques (2/2)
5-Ma deuxième année avec Sainte-Foy
Pour ma deuxième année avec Sainte-Foy , j’avais exactement les mêmes tâches que lors de la dernière année, excepté que je ne m’occupais plus du Facebook (mais je me suis occupée du nouveau compte Instagram) et que la webdiffusion allait être plus présente. Toutefois, étant une des rares qui pouvaient être présentes à presque tous les matchs (j’en ai manqué un seul lors de la session d’automne en raison d’un examen), j’ai rapidement vu mon rôle d’analyste changer pour celui de commentatrice.
Au départ, j’étais bien évidement nerveuse, mais par la suite, j’y ai vraiment pris goût. Je me suis aperçue que j’aimais mieux être commentatrice qu’analyste, même si ce n’est pas toujours facile. Heureusement, je sais que je m’améliore de match en match. De plus, je suis toujours dans l’équipe de CHYZ 94,3 pour ma chronique à toutes les deux semaines sur le hockey collégial. Toutes ces expériences me donnent confiance et me prouvent une fois de plus à quel point j’aime ce milieu.
Vers la fin de la saison 2016-17, nous avons même poussé la webdiffusion à un autre nouveau. Nous avons commencé à filmer les matchs également. Un peu comme il se fait dans la LHJMQ et dans le Midget AAA. Bien que tout ne soit pas parfait, il y a eu beaucoup d’amélioration pour faire diffuser les rencontres des Dynamiques en seulement une saison. Je dois féliciter les responsables de l’organisation, particulièrement Christian Comtois, le responsable des sports, qui se donne cœur et âme pour son organisation.
J’ai eu la chance d’être entourée de bonnes personnes depuis le début de mon parcours et c’est toujours le cas ! Pour la 7e édition de la Coupe Dyamiques, on souhaitait bien évidemment voir nos favoris l’emporter, eux qui n’ont pas gagné depuis 2014 et qui avaient échappé le tournoi l’an dernier en tirs de barrage. J’ai seulement pu commenter la partie de demi-finale face aux Lauréats en raison de changements d’arénas à la suite de la grève des employés de soutien de l’Université Laval (SEUL).
Cette partie s’est donc déroulée au Complexe de l’Ancienne-Lorette. Les Dynamiques se sont malheureusement avoués vaincus par la marque de 1-0. Ce sont finalement les Cougars de Lennoxville qui ont remporté les honneurs, en ayant le dessus 2-0 sur l’équipe de Saint-Hyacinthe.
Lors des séries éliminatoires, ayant terminé 5e au classement général, Sainte-Foy affrontait l’équipe tout juste en haut d’elle au classement. C’est une équipe rivale, les Rebelles du Cégep de Sorel-Tracy.
Les Rebelles avaient éliminé les Dynamiques en 2015 avant d’être couronnés champions alors que les Dynamiques ont mis fin au parcours de Sorel-Tracy l’an dernier, en 2016, lors de la demi-finale. Il y avait donc une belle rivalité déjà ancrée entre ces deux organisations. Sainte-Foy a échappé le 1er match à Sorel-Tracy par la marque de 4-0.
Comme ce fut le cas l’an dernier, les quarts de finale ont pour format un 2 de 3. Sainte-Foy n’avait donc plus le droit à l’erreur. Lors de cette rencontre disputée au Centre sportif de Sainte-Foy, les Dynamiques ont vu leur saison prendre fin sur une défaite de 4-3.
Les joueurs n’ont jamais abandonné. Tirant de l’arrière 1-4 après plus de 50 minutes de jeu, deux buts rapides du défenseur Jean-Nicolas Daigle ont réduit l’écart à 4-3. C’était malheureusement trop peu trop tard. Les hockeyeurs, tout comme leurs partisans présents et les membres du personnel, y ont cru jusqu’à la toute fin. Encore une fois, j’ai bien aimé cette deuxième saison à couvrir les Dynamiques. Bien évidemment, j’aurais préféré conclure ma saison à la mi-avril comme en 2016 plutôt que début mars….
Pour conclure officiellement la campagne, un souper d’équipe a eu lieu le 22 avril dernier. On s’est retrouvé pour une dernière fois pour féliciter tous les éléments de l’équipe. Que ce soit les joueurs, le personnel d’entraîneurs, les employés ainsi que les bénévoles.
Parmi les joueurs honorés, l’organisation a tenu à féliciter le défenseur Jean-Nicolas Daigle pour sa présence sur la première équipe d’étoiles du circuit, l’attaquant et capitaine David Richard pour sa nomination sur la deuxième équipe d’étoiles ainsi que le gardien recrue Émile Samson qui a aussi fait sa place sur la deuxième équipe d’étoiles.
Un gros merci encore une fois à l’organisation pour ma deuxième année avec Sainte-Foy et j’ai bien hâte d’être de retour pour la campagne 2017-2018!
Crédit photo: Yvan Gatien
Pour lire mes précédents articles:
1-Mon arrivée dans la famille des Inouk
2-Officiellement membre de la tribu (1/2)
3-Officiellement membre de la tribu (2/2)
4-Nouveau départ avec les Dynamiques (1/2)
5-Nouveau départ avec les Dynamiques (2/2)
Pour me suivre sur les différentes plateformes:
Pour la présentation de la Coupe Dynamiques, Dany Dubois, à ce moment le responsable de la radio étudiante du cégep, a eu comme idée de faire la webdiffusion des matchs. Nous avons, avec Samuel Falardeau, un étudiant du cégep, débuté ce projet quelques jours avant le fameux tournoi lors d’une rencontre de saison régulière pour nous habituer avec la console. Voici mes débuts à la webdiffusion des Dynamiques .
Pour mon premier match officiellement comme analyste, disons que ce n’était pas toujours glorieux, mais personnellement, j’ai vraiment adoré cette expérience! Nous avons donc passé la journée du dimanche, soit lors des demi-finales et des finales, à couvrir la Coupe Dynamiques dans les trois différentes catégories (U15, U17 et U20).
Malheureusement, Dany et moi avons décrit une défaite de nos Dynamiques lors de la grande finale en tirs de barrage (4-3) face à l’équipe de Northwood Junior. Disons qu’on aurait aimé annoncer un autre gagnant, surtout que c’est face à cette même équipe que Sainte-Foy avait perdu son autre tournoi de la saison plus tôt en janvier, à Northwood justement. Les Huskies avaient alors remporté la rencontre 2-1 en 2ème période de prolongation.
Ce qui m’a le plus marqué de cette rencontre a été le défenseur format géant Mattias Samuelsson. Encore âgé de 15 ans (il allait en avoir 16 le 14 mars), Samuelsson faisait déjà 6’3 » et 205 livres! Disons qu’il était difficile à manquer sur la patinoire! Ce sera assurément un espoir à surveiller lors du repêchage de la LNH en 2018. Pour les plus vieux, Mattias est bel et bien le fils de l’ancien défenseur grand format (6’7 »!) Kjell Samuelsson. Kjell a disputé plus de 800 matchs dans la Ligue nationale de hockey. Il travaille actuellement comme entraîneur du développement des joueurs avec les Flyers de Philadelphie.
Ce tournoi a vraiment confirmé que la radio est un média que j’apprécie. C’est pourquoi Dany, Sam et moi avons décrit les dernières rencontres du calendrier régulier ainsi que les séries éliminatoires des Dynamiques. Rappelons qu’au niveau collégial, en 2015-16, les deux premières rondes étaient des 2 de 3 (l’équipe a besoin de deux victoires pour gagner la série). Le format habituel est plutôt un 4 de 7.
Sur les 11 équipes du circuit, huit ont participé à la danse du printemps. Mes favoris ont terminé au quatrième rang au classement général. Ils affrontaient donc au premier tour (lors des quarts de finale), les Cougars du Collège Champlain-Lennoxville. L’année précédente, Lennoxville avait perdu en grande finale face au Collège-Français de Longueuil au niveau Junior AAA. Lors de leur première rencontre au PEPS de l’Université Laval, les Dynamiques ont remporté le match in extremis en prolongation par la marque de 2-1. Lors du deuxième match, l’équipe de Sainte-Foy a été plus expéditive, gagnant 6-3 pour ainsi passer en demi-finale.
Leurs adversaires étaient les Rebelles du Cégep de Sorel-Tracy. Les Rebelles étaient les champions en titre qui avaient justement éliminé Sainte-Foy en 2014-15. Cela a mal commencé pour les Dynamiques, qui ont rapidement fait face à l’élimination. Ils ont échappé le premier match 3-1 à Sorel-Tracy. Lors de la deuxième rencontre au PEPS, Sainte-Foy a remporté ce match de façon spectaculaire!
Ils sont revenus de l’arrière pour finalement voir le défenseur Dominic Bérard marquer dans la dernière minute de jeu pour faire gagner son équipe 5-4. Puis, lors de l’affrontement ultime, profitant d’une grande performance de 38 arrêts du gardien Philippe Gatien, les Dynamiques ont vaincu les Rebelles 3-1. Ils ont ainsi pris part à la première finale de leur histoire au niveau collégial et ce, à leur deuxième année d’existence dans la ligue seulement!
Pour la ronde ultime, les partisans de Québec ont été choyés puisque les deux formations de la région étaient en action. Il s’agit des Dynamiques de Sainte-Foy et des Lions de St.Lawrence. De plus, en raison de l’élimination hâtive des Remparts de Québec en première ronde dans la LHJMQ, le Journal de Québec ainsi que le journal Le Soleil ont couvert cette finale. Une belle promotion pour le hockey collégial!
Et nous avons eu droit à une finale intense entre ces deux rivaux, comme ce fut le cas lors des rencontres en pré-saison et lors du calendrier régulier. Bien que les Dynamiques n’avaient jamais battu les Lions en deux ans en saison régulière, ils ont tout de même pris les devants 2-0 dans cette série à la suite de deux gains consécutifs de 4-2 et 4-3.
Toutefois, lors de la 3e rencontre, les Lions sont restés en vie en gagnant ce duel 3-2 en prolongation. Ce but décisif a semblé ébranler Sainte-Foy pour la suite des choses. La formation de Christian Larue n’a plus été la même par la suite. Elle s’est inclinée 2-1 au PEPS et 4-1 au Complexe de L’Ancienne-Lorette devant un peu plus de 1 000 spectateurs lors du match final. Ce fut vraiment crève-cœur de voir les joueurs de Sainte-Foy recevoir leur médaille d’argent. De leur côté, les Lions célébraient un cinquième championnat en sept ans.
En résumé, cette saison-là, les Dynamiques ont eu une excellente campagne. Malheureusement, ils n’ont jamais été capables de marquer LE but important lors des grands moments. Ils se sont inclinés en sur-temps lors de leurs deux tournois et lors du match #5 de la finale. Malgré tout, j’ai adoré mon année avec cette équipe, qui aurait mérité un meilleur sort. Ça donnait le goût à notre petite équipe de recommencer dès que possible la webdiffusion pour l’année 2016-17! C’était donc mes débuts à la webdiffusion des Dynamiques , mais uniquement le début d’une belle aventure!
On se reconnecte bientôt!
Crédit photo: Yvan Gatien
Pour lire mes précédents articles:
1-Grandir avec le Grand Club et RDS
2-Mon arrivée dans la famille des Inouk
3-Officiellement membre de la tribu (1/2)
4-Officiellement membre de la tribu (2/2)
5-Nouveau départ avec les Dynamiques (1/2)
Pour me suivre sur les différentes plateformes:
Me voilà maintenant à Québec, ville que j’ai toujours adorée lorsqu’on venait comme touristes quelques années auparavant. Je peux maintenant dire que c’est MA ville. Québec annonçait un nouveau départ non seulement dans mon parcours professionnel, mais aussi académique. C’est donc comme grande fille de 19 ans que j’ai fait ma rentrée au baccalauréat en communication publique profil journalisme. Voici comment s’est déroulé mon nouveau départ avec les Dynamiques .
C’est aussi dans cette ville où j’ai rencontré mon copain, avec qui je suis encore depuis ce temps (c’est-à-dire depuis près de deux ans). J’ai également réalisé cette année-là que le journalisme n’était pas ce que je croyais. Pas que je n’aimais plus du tout cela, mais mon implication avec les Inouk m’a vraiment fait réaliser que j’aimais mieux faire partie d’une organisation que de travailler pour un journal ou un site web indépendant.
Bien que j’aime encore m’impliquer avec ParlonsJunior, je ne me voyais pas faire cela pour le reste de mes jours. C’est pourquoi j’ai pris la décision lors de la session d’automne de faire un baccalauréat multidisciplinaire à la place. Qu’est-ce que c’est? En fait, il s’agit du même nombre de crédits qu’un baccalauréat avec 90, mais réparti en trois disciplines (certificats).
J’ai obtenu celui en communication à la fin 2016 et j’ai complété celui en marketing au mois de juillet (vive les cours d’été!). Comme dernier programme, je vais me diriger vers les langues. Rappelez-vous qu’il n’est jamais trop tard pour changer d’idée, même quand on pense connaître notre parcours depuis qu’on a 10 ans!
Comme je l’avais mentionné auparavant, le hasard fait drôlement bien les choses. Étant nouvelle à l’université, j’ai pris l’initiative de m’impliquer dans mon nouveau milieu, un peu comme je l’avais fait lors de ma dernière année à Granby. C’est donc dire que j’ai pris la décision de travailler à nouveau pour le journal étudiant, ayant pour titre Impact Campus, à l’Université Laval.
Disons que mon engagement avec ce journal m’a permis de couvrir le Rouge et Or dans diverses disciplines, comme le football et le badminton. Même si ma passion pour le journalisme était un peu à la baisse, j’ai vraiment adoré mon expérience avec ce journal. Avec mon accréditation, j’ai pu assister à plus d’événements d’importances…. mais ce sera le sujet d’un prochain article, promis!
En plus de mon implication avec Parlons Junior et Impact Campus, j’avais également décidé de sortir de ma zone de confort et d’essayer… la radio. J’avais des amis qui collaboraient de temps à autre au CHYZ 94.3, la radio étudiante de l’université. C’est pourquoi j’ai décidé de faire comme eux en faisant une chronique à toutes les deux semaines.
Au départ, je souhaitais couvrir la LHJMQ, sujet que je connaissais bien, lors de ma dizaine de minutes de temps d’antenne, mais quelqu’un avait déjà ce sujet. C’est à ce moment que j’ai décidé de parler du hockey collégial, avec comme sujets centraux les Dynamiques du Cégep de Sainte-Foy et les Lions du Collège Champlain St.Lawrence, les organisations de la région.
Ayant un contact dans l’équipe des Dynamiques (Philippe Gatien va se reconnaître), j’ai également pris l’initiative de faire une entrevue avec lui et un autre coéquipier (Samuel Beaulieu) pour en connaître plus sur ce circuit ainsi que sur la saison de Sainte-Foy.
L’article que j’ai publié sur le ParlonsJunior a été une réussite avec les commentaires que j’ai reçus. Une personne qui l’a particulièrement aimé est le gestionnaire des activités sportives du cégep, Christian Comtois. Tellement que par l’entremise de Philippe, il m’a envoyé un message disant qu’il était intéressé à ce que je travaille pour son organisation. À la suite de notre rencontre quelques semaines plus tard, j’ai accepté sa proposition. Je faisais donc dorénavant partie de la famille des Dynamiques en octobre 2015!
Mes tâches consistaient au départ à publier les résultats des diverses équipes (16 au total) qui évoluent au sein du Réseau du sport étudiant au Québec (RSEQ) sur les médias sociaux (Twitter et Facebook) ainsi que publier à toutes les deux semaines une entrevue avec un ancien étudiant-athlète de Sainte-Foy dans le cadre de la chronique L’Expérience Dynamiques. Bien évidemment, j’avais un petit parti pris pour l’équipe de hockey, bien que ce soit toujours le fun de publier les résultats d’une équipe gagnante et ce peu importe le sport.
J’ai donc assisté à quelques reprises aux matchs de hockey des Dynamiques avec des amis ou ma petite sœur. Cependant, ça ne comptait pas réellement dans ma charge de travail. Cela a commencé à changer vers le mois de février. Comme c’est le cas depuis déjà de nombreuses années, les Dynamiques sont les hôtes d’un tournoi.
De nombreuses formations du Québec y prennent part. Il y en a également de l’Ontario et des États-Unis dans le cadre de cette Coupe Dynamiques. La 6e édition de cette compétition comprend trois catégories distinctes: U15, U17 et U20. Sainte-Foy évolue dans la dernière catégorie. Mon implication allait être chamboulée à partir de ce moment…
Mon nouveau départ avec les Dynamiques à suivre dans les prochains jours! Merci de m’encourager!
Crédit photo: Yvan Gatien
Pour lire mes précédents articles:
1-Mes années avec Parlons Junior (2/2)
2-Grandir avec le Grand Club et RDS
3-Mon arrivée dans la famille des Inouk
4-Officiellement membre de la tribu (1/2)
5-Officiellement membre de la tribu (2/2)
Pour me suivre sur les différentes plateformes:
Lorsque je suis partie de Granby, je pensais vraiment que mes moments avec les Inouk étaient terminés. Jamais je n’aurais pensé travailler à nouveau avec cette organisation. Toutefois, grâce à la technologie d’aujourd’hui, les choses ont changé. Je me suis aperçue, en rédigeant mes articles pour mon blogue, que je m’ennuyais de cette belle gang. Voici la suite de mon aventure avec les Inouk .
C’est pourquoi, pour le début de l’année 2017, je me suis jointe aux Inouk comme responsable du contenu digital. En d’autres termes, je m’occupais de la rédaction d’entrevues pour le site web en plus de m’occuper des comptes Twitter et Instagram de l’organisation.
Toutes mes tâches pouvant se faire à distance, alors même de Québec, je peux suivre l’action. Même si ce n’est pas pareil comme assister aux matchs, j’étais bien heureuse de pouvoir dire que j’étais de nouveau une membre à part entière des Inouk ! Avec les nombreux joueurs acquis lors de la période des transactions, tout était permis. Granby a finalement terminé au 3e rang du classement général derrière les puissantes formations du Collège Français de Longueuil et les Cobras de Terrebonne. Mais on le sait, les séries, c’est une autre saison…
À ce moment, toutes les équipes ont une chance égale de gagner les grands honneurs. Surtout que la première fois que je m’étais jointe aux Inouk après le temps des Fêtes (en janvier 2014), ceux-ci célébraient la première conquête de la Coupe NAPA de l’histoire du club quelques mois plus tard. Est-ce que ce serait encore le cas?
Après une bonne fin de campagne où les Inouk ont terminé 3e au classement général sur 12 équipes, grâce à une récolte de 72 points (fiche de 35-12-1-1), la véritable saison débutait lors des quarts de finale. Leurs premiers adversaires étaient les coriaces Braves de Valleyfield, qui avait terminé derrière les Inouk dans la division Martin St-Louis en vertu d’un dossier de 27-21-1 pour 55 points.
À priori, en regardant simplement les statistiques, on pouvait penser à une victoire facile des Inouk. Toutefois, n’importe quelle personne qui suit ou gravite dans le monde du hockey sait que les séries, c’est une toute autre saison. Rapidement, Valleyfield crée une certaine surprise en prenant les devants 2-0 dans cette série. Par la suite, les Inouk se ressaisissent et signent des gains de 7-1,7-2 et 4-2. Lors du 6e match, Granby tirait de l’arrière 5-3 avec un peu moins de deux minutes à faire au match. Les Braves pensaient alors forcer la tenue d’une ultime rencontre à Granby.
Toutefois, Joel Caron a marqué avec 1:12 à faire à la rencontre pour réduire l’écart à 5-4 avant de voir son défenseur Antoine Arsenault niveler la marque 5-5 avec 27 secondes à faire à la troisième période. Alors que tout le monde pensait qu’il y aurait une période de prolongation, Caron, encore lui, a inscrit le filet gagnant lors d’un avantage numérique avec seulement quatre secondes à faire au match ! Le meilleur pointeur de l’histoire du Junior AAA a permis aux Inouk de passer en demi-finale, face aux très puissants Cobras de Terrebonne.
Terrebonne a été la meilleure équipe de la saison régulière au Québec et une des meilleures au pays. La tâche s’annonçait ardue pour Granby. Lors du 1er match, les Inouk ont baissé pavillon 3-2 dans un match serré. Puis, lors des rencontres #2 et #3, les Inouk ont triomphé 7-2 et 4-2 pour ainsi prendre les devants 2-1 dans cette série. Malheureusement, le conte de fée ne s’est pas réalisé, alors que les Cobras ont signé trois gains consécutifs pour passer en finale. J’étais bien évidemment déçue de ce résultat. Surtout que je n’aurai pas eu la chance de voir cette édition finale 2016-17 des Inouk.
Pour les Cobras, ceux-ci ont été sacrés champions de la LHJQ ainsi que de l’Est du Canada (Coupe Fred Page). Ils ont donc disputé la fameuse Coupe RBC pour déterminer la meilleur équipe de calibre Junior A au Canada. C’est finalement l’équipe hôtesse, les Cougars de Cobourg, qui a remporté l’ultime honneur.
Je devais me rendre à Granby pour le premier match de la série, mais ma semaine de relâche a pris fin trop tôt. Si les Inouk étaient passés en finale, j’aurais eu des trous dans mon horaire. Mais bon, ce sera pour l’an prochain! Car oui, je serai officiellement de retour avec les Inouk pour la campagne 2017-2018, mais cette fois-ci, dès le début de la saison! Ce sera donc la suite de mon aventure avec les Inouk . GO INOUK GO!
Merci de votre support et à très bientôt pour un autre article!
Crédit photo: Cathy Jones Photographe Sportive
1-Mes années avec Parlons Junior (1/2)
2-Mes années avec Parlons Junior (2/2)
3-Grandir avec le Grand Club et RDS
4-Mon arrivée dans la famille des Inouk
5-Officiellement membre de la tribu (1/2)
Lors de la saison suivante, soit en 2014-15, j’étais officiellement membre des Inouk comme gestionnaire web. Merci encore une fois à Sandra Charette et Richard Gariépy pour l’opportunité. Bien que les résultats n’ont pas été les mêmes que lors de la campagne précédente, j’ai vraiment vécu de beaux moments.
C’est également à ce moment que j’ai réalisé à quel point les gens agissent différemment avec toi lorsque tu portes le titre de journaliste ou non. Bien que je n’ai jamais senti qu’on me manquait de respect, loin de là même, c’était évident qu’on ne me disait pas tout. C’était totalement l’inverse lorsque j’étais membre à part entière de l’organisation.
J’ai remarqué aussi à quel point c’était agréable de faire partie d’une équipe et de vouloir spécifiquement voir une équipe gagner à chaque rencontre, plutôt que de regarder un match d’un ton neutre, comme lorsque je couvrais les matchs à Sherbrooke. Je pense qu’à ce moment, j’aurais dû pousser ma réflexion un peu plus loin, mais bon, mon plan étant planifié dans ma tête depuis l’âge de 15 ans, je m’en allais en communication publique en profil journalisme…
Comme je le mentionnais, la formation n’a pas eu les mêmes résultats que la saison précédente, terminant au 9e rang sur 14 équipes avec une récolte de 55 points contrairement à 80 l’année précédente. Lors du premier tour des séries éliminatoires, nous (je peux dire ça maintenant non?) affrontions les Rangers de Montréal-Est. Comme c’est la première ronde, le format est un 3 de 5 et non un 4 de 7 comme c’est le cas habituellement. Cela avait bien mal commencé pour les Inouk, qui tiraient de l’arrière 0-2 dans la série.
Puis, après une victoire in extremis de 5-4 en prolongation et un gain écrasant de 8-1, la série était maintenant égale à 2-2 partout. Le match ultime, qui était disputé un mercredi, se déroulait à Montréal-Est. J’ai donc embarqué avec Marc Mercure et son ami pour assister à ce duel. De plus, pour l’occasion, un autobus rempli de partisans des Inouk était également présent pour l’occasion. Disons qu’il y avait de l’ambiance dans le petit aréna pour vivre ce dernier match de cette rivalité.
Sans farce, ce match a assurément été le plus fou auquel j’ai assisté! C’était 5-2 après 20 minutes de jeu pour les Rangers. Puis, rapidement au début de la deuxième, les Inouk ont réduit l’écart à 5-4. C’était avant de voir l’équipe de Montréal-Est marquer quatre buts sans réplique pour porter la marque à 8-4 après 40 minutes de jeu. Toutefois, comme ce fut le cas l’année précédente, nos guerriers n’ont jamais baissé les bras.
Au fur et à mesure que le troisième vingt avançait, Granby réduisait l’écart. L’ancien de la LHJMQ, le défenseur Samuel Robert, a semé l’hystérie chez les nombreux partisans des Inouk présents lorsqu’il a marqué le but égalisateur. Puis, ce fut la folie furieuse lorsque Nicolas Lamoureux-Bisson a inscrit le but vainqueur. Autant les partisans que les entraîneurs et joueurs sautaient partout! Vraiment, les Inouk nous avaient donné tout un spectacle! Ce duel a finalement été gagné au compte de 10-8 par les Inouk pour ainsi remporter cette série.
Toutefois, le rêve a pris fin lors des quarts de finale en six rencontres face aux futurs champions, le Collège-Français de Longueuil. Malgré la fin abrupte, je n’oublierai jamais cette année. Pour conclure mon dernier match au Complexe sportif Léonard-Grondin, j’ai dégusté une bonne bière avec quelques responsables des Inouk sur la galerie, dont Guy Lussier, le coordinateur des activités communautaires. Encore aujourd’hui, on s’écrit encore un peu. Disons que sa bonne humeur et son «Bonjour ma belle Amélie» me manquent.
Lors de ma seule année officielle comme membre des Inouk hockey, j’ai également eu la chance de faire partie de l’équipe de cross-country du cégep. Malgré mes performances ordinaires (soyons honnêtes), j’ai adoré mes entraînements avec mes coéquipiers et mes entraîneurs. Depuis cette année-là, j’ai repris goût à m’entraîner et prendre soin de moi.
Vraiment, ma dernière année collégiale m’a beaucoup appris, tant au niveau personnel que pour ma future carrière. Encore une fois, merci à mes amis et connaissances de Granby pour ces beaux moments! C’était maintenant temps pour moi de faire mes valises dans un nouvel environnement, Québec.
À lire dans mon prochain article, mon retour avec les Inouk ! 🙂
Crédit photo: Cathy Jones Photographe Sportive
Pour lire mes précédents articles:
1-Mes premières entrevues et mon arrivée avec Parlons Junior
2-Mes années avec Parlons Junior
3-La suite de mes années avec Parlons Junior
4-Grandir avec le Grand Club et RDS
5-Mon arrivée dans la famille des Inouk
Pour me suivre sur les différentes plateformes:
Mon aventure avec les Inouk a commencé à l’hiver 2014. Un peu avant cette période, je suivais déjà l’équipe à distance où j’en ai profité pour écrire quelques articles. Il faut dire qu’à ce moment, les Inouk de Granby, club de ma ville et de niveau Junior AAA (un échelon en bas de la LHJMQ) avaient procédé à de nombreuses transactions dans l’espoir de remporter le trophée à la fin des séries éliminatoires. Pas besoin de vous mentionner que la plupart des matchs que j’avais vus de cette équipe étaient des victoires. Voici tout sur mon arrivée dans la famille des Inouk .
C’est pourquoi l’ambiance était particulièrement bonne. Même si je ne faisais pas partie de l’organisation, j’ai été bien accueillie. Étant champions de leur division, les Inouk sont passés directement en quart de finale des séries éliminatoires. Ils affrontaient le Collège Français de Longueuil, qui allait par la suite gagner la coupe NAPA en 2015 et en 2016. Ce fut un peu plus difficile que prévu pour Granby, qui a tout de même remporté cette série en six rencontres. Lors de la demi-finale, les Inouk n’ont pas fait durer le suspense bien longtemps, balayant les Cobras de Terrebonne en quatre rencontres.
Granby a donc affronté en finale leurs grands rivaux, les Cougars de Sherbrooke. Pour les Granbyens, il s’agissait de leur première apparence lors de la ronde ultime. Sherbrooke a rapidement pris les devants 3-1 dans cette série. Les Cougars n’étaient donc qu’à une seule petite victoire du championnat. Toutefois, les joueurs de Granby étaient loin d’avoir abandonné.
Lorsque le journaliste de La Voix de L’Est, Michel Tassé, et moi-même abordions les joueurs ou les entraîneurs, tous étaient unanimes: la série n’est pas terminée. Je me suis d’ailleurs liée d’amitié avec Michel lors de ces rencontres. De même qu’avec son remplaçant, Maxime Massé. Les joueurs avaient raison de croire en eux, puisqu’en 24 heures, la troupe dirigée à ce moment par David Lapierre a signé deux gains consécutifs, dont un de 9-3 lors du match #6 à Sherbrooke.
Pour l’occasion, je m’étais déplacée avec d’autres gens de l’organisation et de l’extérieur pour assister à ce duel. Bien que mes écrits n’étaient pas partisans, je dois avouer que j’étais contente lorsque j’ai su qu’il y aurait une ultime rencontre. Mon lift cette soirée-là, comme pour quelques autres, était la photographe Sandra Charette. J’ai souvent utilisé ses belles photos pour mes articles!
C’était donc devant une salle comble lors du match #7 à Granby que les Inouk ont finalement complété la remontée pour gagner la première coupe NAPA de leur histoire. Un gain écrasant de 6-0 est venu compléter cette soirée de rêve. Du côté des Cougars, ils étaient bien évidemment déçus. Cette équipe qui évolue maintenant au niveau collégial avait cependant disputé beaucoup de rencontres en peu de temps….
Du point de vue personnel, c’est toujours plus agréable de parler avec les gens qu’on connaît et de faire des entrevues lorsque l’équipe locale gagne. Les joueurs qui m’ont marquée ont été les gardiens de but Simon Bergeron (Bergy) et Charles-Étienne Martin (Charley), de même que l’attaquant Steven Mercier ainsi que le capitaine Jonathan Delorme.
Pour les membres du personnel, je pense à l’annonceur Marc Mercure, le responsable des communications à ce moment, Richard Gariépy, l’entraîneur-chef David Lapierre, qui est maintenant l’assistant-entraîneur avec les Huskies de Rouyn-Noranda dans la LHJMQ, la photographe Cathy Jones et le directeur-général de l’époque et actuel président, Marco Bernard.
D’ailleurs, le hasard fait bien les choses. Quelques mois à peine après cette conquête, je travaillais pour l’entreprise de Marco. Même si je n’habite plus à Granby, je suis toujours son employée à l’heure où j’écris ce texte. Il faut croire que je fais bien ma job non?
La suite sur mon arrivée dans la famille des Inouk dans mon prochain billet. À très bientôt!
Crédit photo: Maxime Sauvage
2-Mes premières entrevues et mon arrivée avec Parlons Junior
3-Mes années avec Parlons Junior
4-La suite de mes années avec Parlons Junior
5-Grandir avec le Grand Club et RDS
Pour me suivre sur les différentes plateformes:
Comme je l’avais mentionné dans mon article «Mes débuts dans l’univers du hockey», mes premières expériences dans le merveilleux monde du journalisme écrit ont débuté grâce à RDS, non seulement le Grand Club, mais également la communauté du Réseau des Sports en général. Cette station a marqué mon enfance, comme beaucoup d’autres Québécois. Que ce soit lors des rencontres des Canadiens, lors du championnat du monde de hockey junior et autres événements, RDS a été présent pour les fanatiques de sports. Voici tout sur grandir avec le Grand Club et RDS .
C’est pourquoi j’ai été très heureuse lorsque j’ai appris que j’avais été nommée top-blogueuse à l’été 2012, soit trois ans après mes débuts sur le site. En raison de ce statut, j’ai eu l’honneur de visiter avec quelques autres chanceux à deux reprises les bureaux de cette station sportive.
C’était vraiment impressionnant de voir les locaux que tu as vus si souvent à la télévision en vrai. J’ai également eu la chance d’assister à l’avant-première de l’émission 24CH au Centre Bell alors que Michel Therrien et Francis Bouillon étaient présents. Bien que ce fut court comme moment, ce souvenir restera gravé dans ma mémoire.
J’ai également eu l’honneur, lors de ma seule année en communication, de gagner un stage à RDS grâce au Gala de la relève. En effet, mon rêve de petite fille, soit d’être assise à la même place que Chantal Machabée, allait se réaliser! Les 23, 24 et 25 mai 2016, j’ai donc passé trois journées mémorables dans les bureaux du Réseau des Sports.
Vraiment, ces journées ont passé beaucoup trop vite! Si seulement ça pouvait toujours être le cas à l’école, mais bon, c’est un autre sujet… Quoiqu’il en soit, je me voyais vraiment travailler là un jour. En fait, comme je leur avais mentionné à la fin de mon stage, j’aurais déjà appliqué si leurs bureaux n’étaient pas à Montréal…
Reste à voir ce que l’avenir me réserve, sait-on jamais. Ça serait très difficile de dire non à une telle offre ! Je vais grandement me rappeler ces journées passées avec Daniel Richard, Michel Laprise et Joëlle Cyr. Avoir pu jaser quelques minutes avec un ancien de l’Université Laval, Frédéric Plante, a également été un beau moment. De même que me faire saluer par Hélène Pelletier ou croiser Guillaume Latendresse! Vraiment, je n’aurais pas pu rêver mieux comme premier stage ! Vraiment, grandir avec le Grand Club et RDS ne m’a apporté que du positif!
À très bientôt et merci de me lire!
Crédit photo: Michel Laprise/RDS
3-Mes premières entrevues et mon arrivée avec Parlons Junior
4-Mes années avec Parlons Junior
5-La suite de mes années avec Parlons Junior