Author Archives: Amélie Delobel
Author Archives: Amélie Delobel
L’obtention de mon diplôme d’études collégiales en mai 2015 marquait la fin de mes deux belles saisons à Sherbrooke comme mentionné dans mon précédent article. Quelques mois plus tard, je me suis dirigée vers le baccalauréat en communication publique de l’Université Laval à Québec. Toutefois, l’aventure du Junior Majeur n’était pas finie. Voici la suite de mes années avec Parlons Junior .
Encore une fois, grâce à ParlonsJunior, j’ai pu suivre les Diables rouges lors de leur première saison au tout nouveau Centre Vidéotron. Couvrir cette équipe dans un aréna du calibre de la LNH a vraiment été impressionnant et bien sûr, une belle expérience. Lors de ma première visite, j’en suis restée ébahie. Je souhaite vraiment de tout cœur qu’un jour, Québec puisse avoir son équipe de la LNH. Mais ça, c’est un autre dossier…
Même avec l’université, j’ai assisté à une quinzaine de rencontres des Remparts en 2015-16. J’ai vraiment aimé la gang sur la galerie de presse. Comme ce fut le cas à Sherbrooke, je me suis fait de bons amis ici dans ma nouvelle ville. Toutefois, après une centaine d’articles publiés sur ce site, je suis pas mal plus tranquille depuis la fin de la campagne 2015-16. En 2016-17, je n’ai assisté qu’ à une seule joute des Remparts pour PJ. Il faut dire qu’avec mes cours de marketing et mes différents contrats de job, je ne pouvais pas vraiment me permettre de folies. Et oui, entre temps, j’ai décidé de bifurquer de programme, passant d’un baccalauréat en communication à un baccalauréat multidisciplinaire!
Comme pour Sherbrooke, vous ne seriez pas étonnés si je vous disais que Québec est une organisation de grande classe. Les joueurs qui m’ont marquée ont été Dmytro Timashov, Nikolas Brouillard et Callum Booth. Même si je n’ai pas vraiment parlé avec Timashov, c’était incroyable de le voir aller sur la glace. C’était un véritable magicien. Ce n’est pas pour rien qu’à 20 ans, il joue déjà chez les professionnels avec les Marlies de Toronto.
Cependant, je ne l’ai toutefois vu jouer que pendant une demi-saison, puisqu’il a été échangé par la suite aux Cataractes de Shawinigan. Même chose pour le défenseur Nikolas Brouillard, qui en plus d’amasser sa part de points, était un gars apprécié dans le vestiaire. Il était toujours intéressant en entrevue et on voyait qu’il avait une tête sur les épaules. Il a d’ailleurs remporté la Coupe du Président avec les Huskies de Rouyn-Noranda en 2016.
Pour Callum Booth, on voyait qu’il avait une petite coche de plus que la majorité des cerbères du circuit. Toutefois, ses performances sur la glace sont beaucoup plus marquantes que ses entrevues. Je mentionnais dans mon précédent article que Daniel Audette avec le Phoenix faisait ça assez short and sweet lors de ses entretiens. Toutefois, il était possible de faire un article malgré tout avec ses réponses. De son côté, Booth, cet espoir des Hurricanes de la Caroline, n’élabore pas beaucoup. Ses réponses restent vagues et il est impossible de lui tirer les vers du nez.
Pour Callum Booth, je lui souhaitais la meilleure des chances avec sa nouvelle équipe, les Sea Dogs de Saint-John, pour le reste de la saison 2016-2017. Vraiment, ça se voyait qu’il semblait triste de quitter Québec, mais les joueurs savent que ça fait partie de la game. Il faut croire que son nouveau départ lui a été bénéfique. Booth a remporté la Coupe du Président avec les Sea Dogs avant de baisser pavillon en demi-finale de la Coupe Memorial.
En souhaitant avoir la chance de couvrir encore un peu les Remparts d’ici l’obtention de mon diplôme universitaire et de vivre d’autres belles expériences avec PJ! Je vous tiendrai au courant, promis sur la suite de mes années avec Parlons Junior !
À la prochaine!
Crédit photo: Bee-Tee
3-Mes premières entrevues et mon arrivée avec Parlons Junior
4-Mes années avec Parlons Junior
J’ai beaucoup évolué depuis mon arrivée avec Parlons Junior. Mike (Michael Proulx, le fondateur de Parlons Junior), m’a grandement aidée à améliorer ma structure de texte, principalement lors d’entrevues. J’ai également appris, lorsque j’ai couvert le Phoenix de Sherbrooke à temps partiel, à écrire des résumés de match avec commentaires des entraîneurs et des joueurs. Voici la première partie sur mes années avec Parlons Junior .
Lorsque je dis temps partiel, c’est qu’étant au cégep à Granby sans voiture, me rendre à Sherbrooke n’a pas toujours été facile. Heureusement, mes parents m’ont toujours appuyée dans mes démarches tout comme les amis que je me suis faits là-bas. Disons que plusieurs parmi eux ont eu la gentillesse de me faire des lifts au cours de ces deux années (ils vont se reconnaître!).
Mon aventure à Sherbrooke pour couvrir le Phoenix a débuté lors de la saison 2013-14, soit seulement la 2e année d’existence du club depuis sa relocalisation. En terme de résultats, disons que ce ne fut pas facile pour le club. Toutefois, le Palais des Sports, entièrement rénové, valait le détour et l’organisation en est une de classe. Je n’ai jamais eu de mauvaise expérience.
Tout le monde a toujours été très gentil avec moi. En plus de couvrir le Phoenix, j’ai également pu assister à divers événements. Il y a eu le match de la Super Série Subway, qui oppose les meilleurs espoirs de la LHJMQ à ceux de la Russie. Il y a eu également le repêchage de la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec en mai 2014 ainsi que deux matchs préparatoires de l’équipe canadienne des moins de 20 ans.
Côtoyer des joueurs comme Connor McDavid, Jonathan Drouin, Curtiz Lazar et Bo Hovart qui évoluent tous présentement dans la LNH, m’a permis de vivre de très beaux moments. J’ai été choyée de couvrir ce genre d’événements à un jeune âge. Vraiment, je n’oublierai pas de si tôt ces belles expériences. J’ai beaucoup grandi aussi en côtoyant des professionnels de divers journaux et chaînes de télévision. Malheureusement, dans certains cas, en faisant des erreurs… Pour ces petites mésaventures, ce sera toutefois le sujet d’un article de blogue!
Les joueurs marquants de mes deux années à Sherbrooke auront été Daniel Audette, Jérémy Roy et Evan Fiztpatrick. Daniel Audette, qui a été le tout 1er choix de l’histoire de Sherbrooke et du repêchage de la LHJMQ en 2012, a passé sa carrière junior en Estrie. Bien qu’il ne fût pas toujours le joueur le plus constant, il pouvait changer le cours d’un match à lui seul. Lors de certaines rencontres auxquelles j’ai assisté, il valait le prix du billet à lui seul! Cependant, lors des entrevues, ce n’était pas lui le plus volubile…
Je me souviens d’une entrevue que j’avais faite avec lui pour un article. Je lui ai posé 6 questions et en tenant compte du temps que j’ai pris pour lui poser, notre entretien a duré… 70 secondes. À peine plus d’une minute. Malgré tout, son talent est sur la glace. Il a d’ailleurs amassé 30 points à sa première saison chez les professionnels l’an dernier (2016-17).
À l’inverse, son ancien coéquipier Jérémy Roy semblait plus à l’aise devant les médias. Même s’il n’avait que 16 ans lorsqu’il est arrivé à Sherbrooke, le Phoenix fondait beaucoup d’espoir en ce défenseur. Lors de sa première saison, il a démontré qu’il était un joueur étoile en récoltant 44 points. Il a pratiquement amassé le même nombre de points l’année suivante (43), mais en 18 rencontres de moins.
Son leadership a été remarqué, lui qui s’est vu attribuer la lettre A en 2014-15. Malgré les blessures, il a tout de même été le 1er joueur sélectionné lors de la deuxième ronde du repêchage de la LNH en 2015 par les Sharks de San Jose. C’est un record de sélection pour un joueur du Phoenix, alors que le dernier joueur du Phoenix repêché à l’encan de la LNH était justement Daniel Audette en 2014 par le Canadien de Montréal en 5e ronde (147e au total).
Le dernier est Evan Fitzpatrick. C’est un gardien de but qui a été un choix de 1ère ronde de l’équipe à l’encan de la LHJMQ de 2014. C’était d’ailleurs le premier et seul repêchage à ce jour que j’ai couvert du circuit Courteau. Originaire de Halifax, le gaillard de 6’3 » et 205 livres ne s’exprimait pas en français. Il semblait aussi vraiment intimidé pour son premier bain de foule médiatique.
Au fil de la saison, on l’a cependant senti de plus en plus en confiance. Même s’il semble plus serein devant son filet que devant les journalistes. C’est un jeune homme avec une bonne tête sur les épaules qui répondait toujours présent lorsqu’il devait faire face à la musique. J’étais très contente pour lui lorsque j’ai vu que les Blues de Sant-Louis l’avait repêché au 2e tour (59e au total) l’été dernier (2016).
La suite de mes années avec Parlons Junior sera partagée sur mon blogue pour mon prochain article. D’ici ce temps, passez de bons moments!
Crédit photo: photo personnelle
3-Mes premières entrevues et mon arrivée avec Parlons Junior
Quand l’idée d’interviewer des joueurs de la LHJMQ apparut dans ma tête, celle-ci me sembla bonne. Seul détail : entrer en contact avec des joueurs prédéterminés. Mais comment ? Je n’avais de liens avec aucun joueur du circuit. Aussi, j’habitais à Granby, une ville sans équipe de niveau junior majeur dans le coin. Voici tout sur mes premières entrevues et mon arrivée avec Parlons Junior .
Heureusement, je vis à l’ère des médias sociaux. Là, je m’aperçus de l’utilité de Facebook. L’aide de ce média m’a permis d’essayer d’obtenir en entrevue des joueurs qui, à ce moment, me semblaient si vieux ! Aujourd’hui, âgée de 21 ans, ces derniers me paraissent bien jeunes tout d’un coup. Comme quoi le temps passe très vite…
Peu importe ! Me voilà, à 14 ans, tentant de faire des entrevues avec des joueurs de niveau junior pour mon blogue personnel. Puisqu’il faut commencer quelque part, j’expliquai la situation aux quelques joueurs choisis. Début octobre 2010, je réalisais ma première entrevue par courriel avec Jonathan Audy-Marchessault, alors à sa quatrième et dernière saison avec les Remparts de Québec. Près de sept ans plus tard, Marchessault évolue à temps plein dans la Ligue nationale de hockey avec les Golden Knights de Las Vegas.
Quelques jours après cette première entrevue, je réalisai mon premier entretien par téléphone. L’heureux élu, cette fois-ci : le gardien de but Jacob Gervais-Chouinard. Au moment de l’entrevue, le cerbère disputait sa deuxième saison avec les Foreurs de Val-d’Or. Aujourd’hui, l’étudiant-athlète a conclu sa quatrième saison dans l’uniforme des Redmen de l’Université McGill. Terrorisée ! Voilà l’émotion m’habitant ! Heureusement, le résultat final n’était pas si mal… moins mauvais que dans mon imagination. De toute façon, on ne le saura jamais…
Les lecteurs aimèrent également le résultat. Toujours gratifiant de voir des gens aimer lire nos articles. Pour mon jeune âge, j’écrivais bien malgré le travail encore énorme à faire. Au moins, la base était là : la passion !
D’ailleurs, quelques mois plus tard, par l’entreprise du Grand Club, j’ai fait la connaissance de Michaël Proulx. Michaël recherchait des bénévoles pour collaborer à son nouveau site — appelé ParlonsJunior.com — consacré au hockey junior.
Aussitôt vu, je déposais ma candidature en souhaitant faire partie de son équipe. Une évidence ! Mission accomplie ! Depuis le début 2011, soit les 6 dernières années, je suis une membre à part entière de Parlons Junior! Jannie Potvin, maintenant à TVA Sports, Charles Lalande, pour Québec Hedbdo ainsi que Simon Servant à La Presse canadienne ont tous passé par ce site. Voilà quelques exemples de ce que cette expérience nous a apporté.
Mes anecdotes sur mes deux saisons à Sherbrooke et mon arrivée à Québec seront livrées lors de mon prochain article ! C’était tout pour aujourd’hui sur mes premières entrevues et mon arrivée avec Parlons Junior .
Bonne lecture et merci de votre soutien !
Crédit photo: Bee-Tee/Parlons Junior
Commençons par le début. J’ai toujours été une grande fan de hockey. Cette passion a débuté lorsque j’étais en deuxième année. Étant un peu tom-boy, je me tenais pas mal juste avec les gars aux récréations. Et à quoi des jeunes de sept ou huit ans jouaient lors de récréations? Au mini-hockey! Je vais vous expliquer en détails mes débuts dans l’univers du hockey …
N’ayant jamais eu de cardio, j’adorais me retrouver devant le filet (ou plutôt, un mini-but avec pour limitations deux petits bâtons). Je ne sais pas pour quelle raison exactement, mais j’adorais bloquer des lancers, voir le visage des adversaires déçus lorsqu’ils ne marquaient pas. J’en éprouvais une grande satisfaction.
Étant une jeune fille très timide, peut-être que de faire des arrêts face à des gars aidait à mon estime. Peu importe, ma carrière internationale de gardienne de but s’est limitée au mini-hockey au primaire ou avec des amis, ainsi qu’à quelques parties de consom et de dek hockey au cours de mon secondaire ainsi que lors de mes années au cégep. Rien pour écrire à sa mère disons.
Quoique je me souviendrai toujours qu’en sixième année du primaire, le professeur d’éducation physique avait tenu un tournoi de hockey cosom. Pour encourager les gens à y participer et donner un plus à ce tournoi, mon ami d’enfance et moi avions pour mandat d’assister aux rencontres. On notait le pointage des rencontres (qui a fait les buts, qui allait avancer plus loin dans le tournoi et ainsi de suite.)
Par la suite, on annonçait le tout à l’intercom de l’école. Bien que ce ne fut probablement pas mémorable, je me souviens d’avoir apprécié cette expérience. À ce moment de ma vie, je disais même que j’allais devenir une commentatrice sportive et voyager partout en Amérique du Nord. Cependant, était de nature très gênée (je DÉTESTAIS les présentations orales), je me voyais mal passer ma vie à jaser sachant que des milliers de gens allaient m’entendre. Disons que ce plan de carrière était rapidement tombé à l’eau…
Il faut dire que le hockey n’est vraiment pas de famille. Avant d’embarquer dans cette passion si je pouvais dire, jamais on n’en parlait à la maison. Au fil des années, toutefois, mes frères (en fait, un des deux surtout) ainsi que ma petite sœur sont embarqués dans ma folie pour ce sport. Je crois tout de même que le hockey représentait plus pour moi que pour eux. Au fond, je savais depuis que j’avais 8-10 ans que je voulais faire partie de cet univers. Ayant rapidement constaté que ça ne serait pas le cas comme gardienne de but, ce que j’aurais vraiment aimé, je me devais de trouver un plan B. C’est à 13 ans, à la fin de ma première année du secondaire, qu’une idée a germé dans mon esprit…
Pourquoi pas comme journaliste sportive ? J’avais commencé à écrire des articles sur un forum dès cet âge-là, soit sur le Grand Club au RDS.ca. Comme beaucoup d’autres, pour me faire lire, j’écrivais des articles au sujet du Canadien de Montréal. Toutefois, je me suis vite aperçue que je ne pouvais pas vraiment me faire remarquer puisque tout le monde parlait de ce sujet. Surtout à cette époque où il y avait la célèbre guerre Price-Halak devant le filet du Tricolore. Disons que les blogues sur le sujet étaient omniprésents. Je n’apportais rien de bien nouveau. J’ai également rédigé quelques textes sur le football, soccer et basketball. J’ai d’ailleurs joué au basketball pendant quatre saisons, soit de de 11 à 15 ans. Toutefois, cette discipline n’attirait guère les lecteurs.
C’est finalement au début de ma troisième année du secondaire qu’une idée m’est apparue. J’avais vu un autre article de blogue où le sujet était un joueur de la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec. Toutefois, ce billet était sous format d’entrevue. Je trouvais le concept très intéressant. Non seulement ça me donnerait de l’expérience dans le domaine, mais en plus, je me distinguerais de la masse tout en parlant de mon sport préféré, le hockey. C’était donc décidé. Malgré ma grande timidité, je me suis plongée dans cette aventure qui allait me faire vivre beaucoup d’expériences… Mes débuts dans l’univers du hockey quoi!
Crédit photo: Sandra Charette
Pour mon premier article de blogue, j’ai décidé de vous expliquer pourquoi j’ai décidé de me lancer dans cette aventure. Bien évidemment, il y aura des ajustements en cours de route, mais je vous remercie déjà tous en avance de me lire et de me suivre dans mon premier gros projet personnel. Voici tout sur la présentation de mon nouveau projet !
Cette idée de partir mon propre blogue m’est venue en lisant l’ouvrage de Michel-André Roy, Destination LHJMQ, lors de la période des fêtes en 2016. Je me suis dit que je pourrais également rédiger mes expériences dans le monde du hockey. Un domaine où il y a plus d’hommes que de femmes, je ne vous surprends pas ici.
Je ne savais pas trop par où commencer ni pourquoi exactement je fais cela. Pour le fun, un futur blogue, un livre…? J’ai finalement décidé d’y aller avec l’idée d’un blogue, qui était plus pratique et plus facile à mettre en place que la rédaction d’un ouvrage. J’aime écrire, mais tout de même!
Avec l’université, j’avais peur de manquer un peu de temps également. C’est pourquoi j’ai pris plusieurs mois avant de me lancer officiellement. J’ai commencé la rédaction et mon plan après ma première session à l’automne 2016. Avoir quelques semaines de congé, avant le commencement de ma session d’hiver, m’a permis de me replonger dans mes souvenirs.
J’ai ainsi pu voir tout le chemin que j’ai parcouru depuis mes débuts. Avant de vous parler de mon parcours, je trouvais important au préalable de me présenter (pour ceux qui ne me connaissent pas encore). Je vais également vous expliquer d’où me vient cette passion pour les communications et le domaine du sport.
Pourquoi moi, Amélie Delobel, j’ai décidé de me diriger vers un domaine où il y a majoritairement des hommes. Heureusement, il y a de plus en plus de femmes depuis les dernières années. Ceux qui me connaissent déjà ont peut-être une réponse à cette question, mais pour les autres, je trouvais cela important de vous le partager. C’est ce que je vais vous décrire dans mon prochain article!
Merci beaucoup d’embarquer avec moi dans cette aventure, en souhaitant que vous allez apprécier ce blogue autant que moi! Si vous avez des commentaires n’hésitez pas à m’en faire part! 🙂
Crédit photo: Bee-Tee/Parlons Junior